LES BONNES NOUVELLES

Publié le par Association CCDVI

On a tous envie d'être heureux.


Ce que nous faisons influe sur ce que nous ressentons. En d'autres termes, comportons-nous comme si nous étions heureux et nous le serons…

Par exemple, changeons notre façon de marcher. En marchant à grandes enjambées (grandes foulées, balancement des bras) pendant trois minutes, ça nous rend "vraiment plus heureux" que ceux qui marchent en traînant des pieds (petits pas, épaules courbées, visage baissé).

La plupart d'entre nous ont certaines idées du moment ou de la façon dont on profitera mieux de la vie ("Quand j'aurai ce travail !" ou "Si je me marie"), ce qui en fait, nous empêche d'être heureux. Toutes ces idées reçues ne concernent d'ailleurs pas que le futur. Penser sans arrêt que si on avait agi différemment par le passé, on serait plus heureux aujourd'hui, est tout aussi néfaste.


Créer "un nouveau nous-même". Examinons les choses que nous voulions absolument mais que nous n'avons pas obtenues (ex : "Je voulais réussir tel examen !" ou " Je voulais avoir un enfant"). Ensuite, examinons les raisons spécifiques qui ont empêché ce rêve de se réaliser : quelles personnes et/ou quels évènements nous ont influencé ; à quels choix mineurs ou majeurs avons-nous procédé ? Une fois que cette tâche douloureuse aura été effectuée - un travail que la plupart des gens évitent de faire -, nous serons mieux préparé pour imaginer "un nouveau nous-même". Autrement dit, nous pourrons commencer à travailler dés maintenant sur la personne que nous voulons devenir, au lieu de nous comparer.

Donnons jusqu'à ce que nous réussissions. La générosité nous aide à nous épanouir et non à échouer - même dans les situations les plus difficiles. Achetons un petit cadeau, à notre père, à notre mère, à un ami… Il a été établi qu'acheter quelque chose pour quelqu'un d'autre - du moment que cela ne dépasse pas une fourchette raisonnable de 3 à 15 euros - nous rend plus heureux qu'acheter la même chose pour nous-même.

Nous trouvons qu’il n'y a jamais eu plus d'Américains insatisfaits de leur situation professionnelle que depuis la récession. Certes, c'est peut-être le résultat de salaires plus bas et d'heures plus longues. Mais c'est peut-être aussi parce que nous nous sommes habitués aux aspects positifs de nos emplois et que nous les avons considérés un peu vite comme assurés.

Établissons une liste de tout ce que nous aimons dans notre travail : l'attitude ouverte par rapport aux nouvelles idées par exemple, ou un ordinateur portable qu'on peut ramener à la maison. Si nous faisons partie des gens qui font des listes de choses pour lesquelles ils sont reconnaissants juste avant de se mettre au lit, soyons conscients que notre conjoint pourra s'inquiéter un peu de nous entendre murmurer dans le noir : "lait goût noisette en illimité. Gentil patron. Post-it gratuits."

Certaines personnes jouent pour gagner. D'autres jouent pour ne pas perdre… Découvrir à quel type nous appartenons nous aide à nous motiver, à réussir plus vite et, tout simplement, à nous sentir mieux.

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