A MEDITER

Publié le par Josie

Parfois, sur notre route, on croit aller quelque part pour apporter quelque chose à des gens qui ont tout perdu. A peine a t-on posé le pied dans leur village, qu’ils s’approchent de nous avec un verre d’eau, une tasse de thé, un fruit, une sucrerie... Tout sourire, ils nous accueillent en nous saluant. Quel est celui qui reçoit le plus en fin de compte ?

Lorsque les gens meurent de faim ou souffrent de la misère dans une partie du monde, c’est un sujet de honte pour toutes les nations. Il y a assez pour assurer la survie de tous les êtres vivants sur notre Terre, mais non pour satisfaire l’avidité de quelques-uns.

Tendre la main à une âme en détresse, nourrir les plus démunis, offrir un sourire bienveillant à une personne triste et abattue, tel est le vrai langage humain. Que la compassion se manifeste dans notre cœur et à travers nos mains !

Vivre uniquement pour soi-même, ce n’est pas la vie, c’est la mort. Certains diront peut-être que le monde restera le même, quels que soient nos efforts pour le transformer, et qu’il est aussi vain de travailler à la paix que de vouloir redresser la queue recourbée d’un chien. Nous aurons beau essayer, la queue reprendra aussitôt sa forme primitive. Mais grâce à cet effort constant, même si la queue ne se redresse pas, nos muscles se fortifient.

Ainsi, peu importe qu’ils soient ou non couronnés de succès, nos efforts en vue d’instaurer la paix nous rendront meilleurs et, même si un changement visible ne se produit pas, cette évolution individuelle finira par susciter une transformation dans le monde actuel, elle est le fruit de tels efforts.

La plus grande entrave à la liberté c’est notre mental. Il a le pouvoir de faire de notre vie un enfer ou un paradis.

La douleur peut être une véritable source d’inspiration. Si l’on se plante une épine dans le pied, nous en tirons la conclusion qu’il sera bon d’être vigilant la prochaine fois pour éviter de marcher sur des épines. Ainsi la souffrance est partie intégrante de la vie, c’est elle qui peut nous apprendre énormément de choses si nous en avons une juste compréhension et si nous avons l’attitude juste. Cela ne veut pas dire que tout le monde doit faire l’expérience de la douleur mais que certaines souffrances sont inévitables et qu’elles sont sources d’enseignement.

Si nous trouvons quelqu’un qui nous apprend à mieux aimer - c'est ce qui se passe lorsque nous apportons de l'aide - ne nous occupons pas de son étiquette : suivons-le !

Si nous ne sommes pas prêt à tout, nous ne sommes prêt à rien….

Un proverbe indien dit : Grand esprit, aide-moi à ne jamais critiquer mon voisin avant d’avoir marché au moins 1 km dans ses mocassins.

A MEDITER
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