LES BONNES NOUVELLES

Publié le par Josie

DE BELLES ANNEES

Pour ceux qui ont grandis au cours des années 4O, 50, 60… Comment avons-nous pu survivre ?

Les autos n’avaient ni ceinture de sécurité, ni appuie-tête, ni airbag. Sur le siège arrière, on se marrait, et ce n’était pas dangereux.

Les lits à barreaux et les jouets étaient multicolores, ou peints avec des laques douteuses contenant du plomb ou autres poisons.

Il n’y avait pas de sécurités enfants sur les portières des voitures, ni sur les prises de courant, encore moins sur les médicaments ou autres nettoyants chimiques domestiques.

Il n’y avait pas de casque pour faire du vélo.

On buvait à même le tuyau d’arrosage, et pas des eaux minérales en bouteilles stériles.

On construisait des caisses à savon, et ceux qui avaient la chance d’habiter pas loin d’une route en pente pouvaient tenter d’établir des records de vitesse, et même constater à mi-chemin, qu’on avait économisé sur les freins… après quelques accidents, ces petits problèmes étaient résolus.

On osait aller jouer dans la rue… Il fallait juste rentrer à la maison avant la nuit. Il n’y avait pas de portables et nos parents ne pouvaient donc nous appeler pour savoir ce que nous faisions.

On jouait et on perdait : pas de frustrations ni de « fin du monde ».

Nous avions : libertés, revers, succès, devoirs… et l’on apprenait à faire avec.

La question est : Comment avons-nous pu faire pour survivre et pour développer notre personnalité ?

Les plus jeunes pourraient répondre : « qu’est-ce que vous avez dû vous ennuyer à cette époque ! »… Pourtant, qu’est-ce qu’on a comme bons souvenirs !

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