LES BONNES NOUVELLES

Publié le par Josie

LE CHANGEMENT

Combien sommes-nous à espérer un changement - sans aller jusqu’au bout ?

Pourquoi voulons-nous changer quelque chose dans notre vie ? Parce que nous espérons le meilleur.

Nous sommes nombreux à ne pas être à l’aise face au changement, par peur de l’inconnu. Nous voudrions que tout roule, que la vie soit un long fleuve tranquille…

Il y a deux types de changement : celui qui nous est imposé et celui que nous choisissons.

A partir de quel moment va-t-on décider de changer quelque chose dans notre vie (de pays, de partenaire, d’alimentation, de travail …) ? C’est à partir du moment où les inconvénients deviennent supérieurs aux avantages. Nous pouvons endurer, parfois pendant des années, une situation qui ne nous donne pas satisfaction, parce qu’à côté, nous disposons de certains bénéfices. Mais lorsque les préjudices, le degré de souffrance deviennent plus importants, c’est là que nous décidons d’effectuer un changement. C’est le cas, par exemple au travail : le poste que nous occupons est routinier et l’ambiance ne nous convient pas. Cependant, nous nous satisfaisons de cet emploi parce que le salaire nous permet de vivre correctement… jusqu’au jour où une modification intervient et fait pencher la balance…

Lorsque nous envisageons un changement, nous espérons que tout sera plus agréable. Nous sommes dans l’enthousiasme. En avançant dans le projet, tout à coup, nous sommes confronté à la peur du changement. Nous perdons nos repères. C’est l’inconnu et nous devenons mal à l’aise parce que nous avons tout à reconstruire dans le domaine concerné. En plus, peut-être que l’entourage interfère, nous critique, nous juge, nous décourage. Acceptera t-il notre métamorphose ? Nous vivons une impression subjective de ne pas nous reconnaître.

Avec le changement, nous quittons une situation qui ne nous convient pas, nous allons vers ce que nous imaginons comme étant meilleur… mais cela nous fait vivre des désagréments… c’est à ce moment là que la tendance est de vouloir nous faire faire marche arrière. Nous trouvons tous les prétextes possibles. La souffrance de la nouvelle situation est liée au changement et non à la souffrance du passé. Sachons discerner : est-ce que c’est inadapté ou est-ce parce que c’est nouveau ?

Ne nous décourageons pas, parce que c’est temporaire. Ce que la chenille appelle la fin du monde, le maître l’appelle le papillon.

Persévérons dans les choix que nous faisons de transformer une situation, de mettre du nouveau dans notre vie… nous ne le regretterons pas!

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