LES BONNES NOUVELLES

Publié le par Josie

Mars est à nos portes. Bienvenue ! En même temps que la nature, nos esprits se réveillent lentement du long sommeil de l’hiver. Chaque minute est plus suave que la précédente… Il y a une grâce dans l’air… Les branches se couvrent de nouveaux bourgeons. Du plus profond de nous montent des frissons d’espoir. C’est le moment de retourner la terre de notre jardin intérieur.

Dès le 1er mars, promettons-nous de persister dans la voie de la sérénité dans le quotidien.

Il nous est souvent arrivé par le passé d’avoir l’impression que nous allions décoller d’une minute à l’autre du sol. D’ailleurs c’est souvent ce qui se passait. En même temps que nous nous brossions les dents, nous rangions la salle de bain, la bouche écumante de dentifrice. Inutile de dire qu’une journée qui commence de façon aussi frénétique ne présage rien de bon.

Tout au long de ce mois, engageons-nous à faire chaque jour les choses calmement en consacrant toute notre conscience à chacune de nos activités.

En nous réveillant, notre première pensée devrait être « qu’est-ce qui me ferait vraiment plaisir ? ».

Chaque fois que nous avons l’occasion de nous faire plaisir, n’hésitons pas un seul instant. Tout plaisir a une dimension sacrée. C’est un pèlerinage qui conduit à la guérison, un voyage qui ramène vers le « moi » authentique. A mesure que l’on acquiert plus d’intériorité, on s’éloigne des blessures et fardeaux qui se transforment en or grâce au pouvoir de la créativité. Chaque vie contient de l’or – en potentiel – si l’on est prêt, bien sûr à entreprendre le travail de transformation nécessaire. Nous sommes donc des « chercheurs d’or ».

Le mineur, pour parvenir à des alluvions exploitables, à l’or qu’il recherche, doit passer au crible et rejeter une quantité considérable de déchets que l’on appelle « surcharge ». En termes personnels, la surcharge individuelle peut obscurcir le trésor en soi. Il y a besoin d’être actif pour trouver les veines scintillantes de nos rêves, de nos aspirations enfouies sous les interprétations négatives, ou tout simplement ignorantes, des autres et …de soi-même.

Nous avons été éduqués pour que nous écoutions les autres parler de nous-même. On nous a encouragés à croire que notre vie devait en quelque sorte répondre aux attentes des autres. Aujourd’ hui tout cela est en train de changer. Quand on prend du recul par rapport à notre vie parce que l’on veut satisfaire notre créativité, on se rend souvent compte qu’on a eu un rêve miroitant qui s’en est allé parce qu’on a cru – de même que l’entourage – qu’il n’était pas à notre portée. On aurait pu en réaliser certains si…. Si nous avions su qui nous étions réellement !

Nous avons le pouvoir de changer les croyances qui nous limitent et de planter consciemment les graines pour le futur que nous nous sommes choisi. En changeant d’avis, nous changeons notre expérience. L’expérience n’est pas ce qui arrive à un homme, c’est ce que l’homme fait avec ce qui lui arrive.

Nous avons besoin de retirer l’énergie investie à tort dans les autres en répondant à leurs attentes et en leur accordant la priorité. C’est en prenant comme objectif cette reconnaissance de soi que nous déblayons.

Nous ne savons pas toujours ce qui nous rend heureux. Nous savons, par contre, ce qui devrait nous rendre heureux. Nous nous sentons déconcertés et perplexes lorsque nos tentatives pour être heureux échouent. Quand nous obtenons ce que nous voulons… c’est le cauchemar. Nous avons enfin la maison que nous voulions pour nous apercevoir que l’arrière-cour de l’appartement en enfilade que nous avons quitté comme un vieux manteau usé nous manque.

Le 6 mars, célébrons les Grands-Mères.

Le 8, c’est la journée de la Femme. Et si, nous préparions une exposition dans notre quartier, avec photos, témoignages, exposition de vêtements de femmes qui ont traversés les années?

Le 17, nous fêterons la St Patrick en portant du vert, en concoctant un délicieux pain irlandais que nous dégusterons au son d’une bonne musique irlandaise. Et pourquoi ne pas danser une gigue ? Saisissons tous les prétextes pour égayer notre vie.

Le 20 mars, préparons un repas printanier pour souligner l’apparition du printemps. Fabriquons une guirlande printanière que nous suspendrons à notre porte d’entrée.

Le 27, C'est Pâques. Irons-nous à la découverte des oeufs de Pâques dans le jardin avec nos enfants ou petits-enfants?... un moment délicieux pour tous. Partagerons-nous le repas avec l'agneau pascal en famille?

Mars est un bon moment pour nous procurer des pensées et des primevères et les présenter dans un joli panier.

Joli mois de mars à toutes et tous.

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