LES BONNES NOUVELLES

Publié le par Josie

L’AGE

L’âge, la maturation, l’automne de la vie – quel que soit le terme employé – n’a pas la cote là où l’on se doit de rester « d’jeune » pour exister… Le poids de la norme que cultive notre société…

Et pourquoi l’expérience de l’âge ne serait-elle pas une croissance, plutôt qu’un naufrage ?

N’y a-t-il pas dans notre entourage des personnes dont l’âge avance et qui sont rayonnantes, endurantes, pleines d’expériences à transmettre ? Celles là ont su être anticonformistes.

L’âge avançant, nous avons des peurs. Quelles sont-elles ? La plupart du temps il s’agit de la peur de perdre notre autonomie, notre humanité, la maîtrise de notre vie, de ne plus savoir faire face aux nouvelles technologies, à la société de la surconsommation, les marques de l’âge sur le visage, l’usure du corps…

Rappelons-nous qu’à chaque étape nous perdons quelque chose mais nous gagnons sur d’autres plans… L’autre plan, c’est la présence. Une sensation où l’on dépasse la seule image extérieure pour croître en perception.

Il y a des zones de nous-mêmes qui échappent aux limites du corps. Pourquoi ne pas s’habituer à les intensifier ? La société se focalise sur ce qui peut diminuer avec le temps, le physique et l’intellect. Mais le cœur et l’esprit, eux, ne cessent de pouvoir croître.

Dès lors que nous nous centrons sur cette possibilité de se renouveler, en contact avec notre intériorité, nous sommes beaucoup plus ouverts à ceux qui nous entourent.

Faisons des listes : ce que nous voulons garder, ce que nous voulons évacuer, osons dévoiler les secrets de famille. Tout cela nous aide à n’avoir ni regrets, ni remords, ni rancunes.

Et puis, demandons-nous ce que nous aimerions réaliser. Osons le faire !

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